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Musique

SOPHIE HANDEL : Découvrez son nouveau titre MRS JONES

Pour la sortie de son titre Mrs Jones, découvrez l’interview de Sophie Handel !

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Pourquoi avoir choisi ce nom d’artiste Sophie Handel ?

C’est pour une raison très personnelle. La sarabande de Haendel m’ a toujours touchée. La première fois que je l’ai entendue, j’étais jeune, je n’avais pas de culture musicale classique mais j’en ai eu des frissons et je me suis demandée comment un homme pouvait faire quelque chose d’aussi fort, j’étais vraiment scotchée.

Ce sentiment-là m’est arrivé deux fois dans ma vie, pour la sarabande et en lisant le Cid de Corneille.  Et puis, c’est la musique qui m’a accompagnée quand j’étais enceinte et hospitalisée. Je ne sais pas si elle calmait mes jumeaux ou si c’était moi mais elle m’a aider à tenir de 5 mois à 7 mois.

sophie handel mrs jones

Depuis quand faites-vous de la musique ?

Je faisais de la musique quand j’étais en primaire avant d’arrêter par manque de confiance en moi. À l’époque, il n’y avait pas les réseaux sociaux, je vivais dans un petit village près d’Avignon, dans ma famille, on ne parlait pas beaucoup de musique,  la vie d’artiste me paraissait inaccessible.

Ensuite, quand je suis montée à paris pour faire mes études, j’ai rencontré des musiciens qui sont devenus des amis et on a fait un groupe, j’écrivais les textes, les mélodies avec le chanteur. Je faisais de la guitare et parfois les chœurs, on jouait dans des pubs. Puis le groupe a splitée car certains ont déménagé, j’étais déçue mais je suis tombée enceinte jsute après de jumeaux. Ça a été une sorte de tornade qui a mis ma vie professionnelle entre parenthèse. Ensuite je me suis mise à écrire pour les autres. J’ai toujours voulu écrire pour d’autres artistes, je ne pensais pas faire un album personnel jusqu’à ce que je composes ces chansons.

Comment définiriez-vous votre style de musique ?

Je dirais un mélange pop alternative electro. Mes influences sont les années 80. Je voulais des synthé analogiques, alors je suis partie enregistrer chez Coxinhell studio à Saint Aygulf, l’arrangeur est fabuleux et il a tous les synthés que je voulais.  C’était une belle expérience.

Pourquoi faites-vous de la musique ?

J’aime ça, le fait de créer une mélodie et qu’elle prenne vie petit à petit avec les paroles puis l’arrangement, je trouve ça magique et grisant. Ça part d’une envie, d’une idée, d’un besoin de sortir quelque chose, c’est très personnel, c’est une mise à nue pour moi beaucoup plus que lorsque j’écris une comédie avec des personnages fictionnés.

C’est pour ça sans doute que j’ai mis longtemps avant de me décider, j’avais besoin d’avoir suffisamment de chansons qui viennent d’une envie de raconter ce que j’ai au fond de moi.

Quelles sont vos influences musicales ?

J’ai grandi dans les années 80 90, j’ai découvert la musique avec A-ha, les Pet shop boys, Queen, Jean-jaques Goldman. J’étais impressionnée par tant de mélodie.  Aujourd’hui je suis influencée par the Weeknd, ou par des artistes français comme Grand corps malade, Feu chatertone, Yseult, Pharell Williams, Cats on three, Lili wood and the pricks…

Si vous deviez amener un album sur une île déserte ce serait lequel ?

J’aime autant les musique anglo-saxonnes que française, selon mon humeur, je n’écoute pas la même chose, ce serait comme choisir entre mon fils et ma fille. Idéalement j’emmènerais une compile avec mes morceaux préférées. Si je n’avais pas le choix, ce serait Imagine, de John Lennon.

Si vous pouviez passer une soirée avec une star de la chanson ce serait qui ?

Il y a beaucoup d’artistes que j’admire et qui m’inspirent. The Weeknd qui me facine. J’adorerais aussi passer une soirée avec Jean-jacques Goldman, Benjamin Biolay, Chistine and the Queens…

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