Votre petit ami reste septique et avance de nombreux arguments du genre :
- Rien ne sera plus pareil (plus pareil que notre routine ?)
- On ne sera plus seuls (on l’était ?avec tes copains et ta famille ?)
- Ton corps ne sera plus jamais aussi sublime (ah, maintenant tu avoues qu’il l’est ?toujours trop tard !)
- Je passerai toujours au second plan (il le sait que les compagnons de vie passant toujours après les enfants, pas de contre-arguments à part le fait qu’il soit déjà aussi un petit peu votre enfant)
- On ne pourra plus se permettre les weekends cocooning ou les grasses matinées (ah parce que tu crois que ton petit déjeuner se mettait tout seul le matin ?)
- Oubliées les soirées foot, ou en boite, même en amoureux (les premières ne seront définitivement pas un dommage collatéral)
- Il y aura un dégradé de tâches de pipi, popo, vomis et autres fluides de bébé partout chez vous (ça sera un petit peu comme faire ta lessive, non ? et on trouvait déjà que la maison manquait de couleurs)
Et j’en passe, Monsieur a visiblement bien potassé la question et a une longue listes d’arguments bien ficelés, mais qui ne lutte heureusement (peut-être malheureusement pour lui) pas contre votre fibre maternelle et votre folle envie d’enfanter.
Si votre horloge biologique vous stresse autant que ses nouvelles futures responsabilités, maintenez vos positions, car si votre chéri n’est pas prêt à fonder un foyer avec vous quand vous êtes prête, peut être ne le méritera t-il pas plus tard.
Vous voulez simplement que votre compagnon soit le père de vos enfants, parlez-en avec lui en essayant de le convaincre calmement du charme de cette éventualité,
